Devant la mare du Baux, Lydia Padellec, se trouve justement à la lisière de nos visages :
A la lisière de nos visages
L’ombre sinueuse des doigts
Trace le chemin du vent.
Tout s’efface :
Les pas sur le sable
Les mots triturés de silence
Les souvenirs d’une petite fille
Qui court sur la grève
Les cheveux emmêlés de sel…
Tout s’efface
…
La mer comme seul refuge
Aux filets de la mémoire.
Lydia PADELLEC
(Visages sans nom, inédit)
A la lisière de nos visages
L’ombre sinueuse des doigts
Trace le chemin du vent.
Tout s’efface :
Les pas sur le sable
Les mots triturés de silence
Les souvenirs d’une petite fille
Qui court sur la grève
Les cheveux emmêlés de sel…
Tout s’efface
…
La mer comme seul refuge
Aux filets de la mémoire.
Lydia PADELLEC
(Visages sans nom, inédit)
la mare du Baux