Les sentiers
tracés à pas d’homme
longent le silence
d’une vie
Une blancheur éparse
laconique
s’obstine
jusqu’au ciel
Je laisse aux mots
le soin de veiller.
Marie-Josée Christien
(Temps morts, Les Cahiers du Rhin)
tracés à pas d’homme
longent le silence
d’une vie
Une blancheur éparse
laconique
s’obstine
jusqu’au ciel
Je laisse aux mots
le soin de veiller.
Marie-Josée Christien
(Temps morts, Les Cahiers du Rhin)
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